Passage devant une des boutiques corner macaron Pierre Hermé à Paris (ici avenue de l'Opéra), et impossible de résister... Je les préfère aux macarons Ladurée (trop "gras")
Chocolat noir, caramel beurre salé
Pierre Hermé, site web
Passage devant une des boutiques corner macaron Pierre Hermé à Paris (ici avenue de l'Opéra), et impossible de résister... Je les préfère aux macarons Ladurée (trop "gras")
Chocolat noir, caramel beurre salé
Pierre Hermé, site web
Amorino propose 28 chocolats chauds aromatisés (nature, noisette, poire, marron glacé, etc...)
Je choisis le classique noir extra fondant (le n°1!!!) : voici comment cela se passe : la serveuse ouvre un sachet, verse la poudre toute prête dans du lait entier chaud, et voilà ! Résultat : un chocolat épais et gélatineux, insipide, arrière-goût de poudre, on dirait de la danette au micro-ondes !!! beurk beurk, cela doit être bourré d'agents épaissisants et de gélatine ! 4.60 euros avec chantilly
Encore un test chez Amorino : chocolat & speculoos. Le chocolat noir est bien moins bon que le chocolat grand cru 71% qui est plus corsé et moins sucré - malheureusement, en hiver la liste des parfums est réduite et ne reste que le chocolat "normal".... Le speculoos est très présent en goût, avec des morceaux de biscuits bien croquants.
Petite pause appréciée en plein rush courses de Noel au Printemps Haussmann : on s'installe dans l'immense brasserie sous la coupole (classée), au 6è étage. Au comptoir ou à l'écart sur table. Glace chocolat café et chantilly, excellente !
Printemps Haussmann : les restaurants
Autre pause agréable au Printemps : Ladurée à relire ici et ici
Jamais décevant, toujours créatif, William Ledeuil séduit mes papilles de ses associations de saveurs subtiles.
Dans la formule midi du moment, entrée - plat et café, les ravioles de daurade sont délicieusement accompagnés d'une crème lègère aux saveurs thaies, et une touche d'émulsion toute aérienne. Décidément, le chef nous régale avec la citronnelle, qu'il travaille à la perfection !
Les plats : cochon de lait très tendre, condiment gingembre
Saint-Jacques dont la cuisson est parfaite, condiment mangue, légumes croquants et émulsions toutes douces.
Ze Kitchen Gallery, rue des grands Augustins, Paris 6, site web
Déjà adoré là, et le KG bis est tout aussi réjouissant : apprécié là.
Toutes les expériences au Grand Café des Capucines m'avaient laissé un goût amer : prix élevés, service approximatif, cuisine peu soignée, plats souvent servis froids... Cette fois encore, le repas fût désastreux, tout comme la pièce de théâtre qui suivit et qui avait justifié un dîner rapide dans le quartier : Le Prénom... je m'attendais à un monument de lourdeur et je dois dire que le résultat a dépassé mes espérances ! Clichés en tous genres, blagues grosse ficelle, degré zéro de la subtilité, public de dindes gloussant à qui mieux mieux pour récolter leur minute de gloire. Insupportable ! Et dire que le spectacle fait salle comble... Je m'interroge sur les attentes de mes contemporains : du divertissement sans esprit, prêt-à-gober, où il suffit de rire bêtement comme un chien de Pavlov au signal de comédiens qui en rajoutent dans le démonstratif au cas où on n'aurait pas compris ? Bref, soirée de M...
Café des Capucines, donc... Salle art déco avec moquettes cra cra, mais lumières tamisées qui masquent les négligences
Bisque de poissons en croûte, genre de bouillasse épaisse dans laquelle on ne distingue absolument rien, sur laquelle on fait gonfler une pâte feuilletée qui ira s'avachir dans la soupe - et c'est le gloubi boulga !
Cabillaud et fondue de choux, servi froid...
Moelleux au chocolat
Glace avec chantilly en bombe et madeleine sèche. C'est la fête !!!!
N'y allez pas, en plus c'est cher : Café des capucines. N'y allez pas non plus, c'est cher, lourd et gras : Le Prénom au Théâtre Edouard 7.
La salle est vieillotte et sans charme, le service fait ce qu'il peut... Clientèle de touristes guides à la main...
Les petits pains industriels sont déjà sur la table, croute quadrillée comme il se doit...
La spécialité étant le soufflé, il aurait fallu opter pour la totale, version salée puis sucrée. Mais un choix de curry de lotte et magret de canard nous valent deux assiettes servies instantanément et... froides. Sans doute du sous-vide réchauffé à la minute... Très salé évidemment, pour donner l'impression d'une saveur...
Soufflé au chocolat en dessert, même pas bon, fade, vaguement cacaoté, la texture est peu réjouissante. Le serveur casse la croûte gonflée d'un coup de cuillère grossier qui finit de gâcher l'expérience. A fuir !
Le Soufflé, rue du Mont-Thabor, Paris 1
Un bon rapport qualité prix pour St Germain, je n'ai jamais été déçue. A l'Alcazar, récemment redécoré, toujours à la manière de Terence Coran, la formule du midi comprend entrée - plat (ou plat - dessert) avec boisson (1/2 eau ou verre de vin) et café agréablement accompagné d'orangettes au chocolat pour 28 euros (35 avec entrée et dessert).
Les entrées : saumon d'Ecosse fumé maison, galette parmentier
Oeuf poché, crème de cèpes et foie gras
Les plats : St Jacques d'Erquy marinées, pomelos et mesclun : excellente selection de crustacés mais un plat froid, qui aurait pu figurer en entrée
Cabillaud rôti aux champignons et jus de coquillages. Le pavé est épais, nacré, cuisson parfaite, d'une douceur rare : un régal !
Alcazar, 62 rue mazarine, Paris 6, site web
Déjà testé ici à plusieurs reprises mais on ne s'en lasse pas, offensive contre le froid oblige !
Le fameux chocolat chaud africain chez Angelina : je le trouve juste un peu trop sucré mais il fait du bien...
Angelina, rue de Rivoli, Paris 1